Dinner with Leatherface
( 2.5 / 5 )
« Chef d’œuvre de haine, de vanité provocante, d’orgueil démoniaque, mais chef-d’œuvre tout de même. » – Riefenstahl utilise le langage cinématographique pour glorifier et mythifier le sujet : contre-plongées héroïques, contre-champ nombreux de spectateurs (soldats, militants et « civils ») enthousiastes. Le cadrage de la foule, lors de travellings ne permet pas un décompte exact. Travellings circulaires lors des discours et très grands plans lors des parades. – La séquence d’ouverture fait d’Hitler un dieu descendu des cieux pour sauver le peuple allemand. « Un dieu nouveau descendant du Walhalla », selon Mitry qui reprend l’analyse de Sadoul:(« L’avion du nouveau Messie se posait à Nuremberg. ») qui, plus loin, parle de « pompeuse déification wagnérienne ». Ferro évoque « l’avion du Führer qui descend du ciel tel le démiurge »
( 2.5 / 5 )
( 1.9 / 5 )
( 3.95 / 5 )
( 2.5 / 5 )
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